Déserts d'altitude
Compl. Titre  du Chili au Machu Picchu, 8 mois à pied sur la cordillère des Andes
Auteurs   Marquis, Sarah (Auteur)
Lachat, Janis (Illustrateur)
Edition  Michel Lafon : Neuilly-sur-Seine , DL 2015
Collation   1 vol. (251 p.-[16] p. de pl.)
Illustration   ill. en coul.
Format   23 cm
indice Dewey   918.044
920
ISBN   978-2-7499-2552-3
Prix   17,95 EUR
Langue d'édition   français
Sujets   Randonnée pédestre -- Andes -- 1990-.... -- récits personnels
Randonnée pédestre -- Amérique du Sud -- 1990-.... -- récits personnels
Nombre de réservation(s) actuelle(s) : 0
Réservation
SiteNuméroCoteSection / LocalisationEtat
Barbentane 010012477 910.4 MARAdulte / Disponible
Résumé : Attention, ce n'est pas un livre que vous allez lire, c'est une aventure extraordinaire que vous allez vivre ! Sarah Marquis " anime " si bien son écriture que vous partagerez ses émerveillements sur 7 000 kilomètres, du Chili au Pérou, hantés comme elle par la magie de l'Empire inca. Vous gravirez les sentiers capricieux de la cordillère des Andes, surpris par l'irruption d'un troupeau de chèvres étiques, ou pétrifiés par une horde de cavaliers venus du fond des âges qui déboule de la montagne. Dans les rares villages, vous rencontrerez des gens très pauvres aux yeux rieurs, accueillants pour la plupart mais parfois hostiles, comme s'ils avaient conservé dans leurs gènes les terribles souvenirs de la conquête espagnole. Vous savourerez les nuits du désert sans dunes d'Atacama, sous une voûte étoilée où le silence vous parle. Et vous apprécierez l'humour dont fait preuve l'intrépide dans les situations scabreuses où elle se retrouve inévitablement. Mais avant d'arriver à la merveille finale du Machu Picchu, il faudra aussi transporter votre sac à dos de 30 kilos, marcher entre 3 800 et 4 500 mètres d'altitude pendant des jours sans rencontrer personne, parfois par moins 25 degrés, trouver de l'eau, l'économiser, avoir faim, monter votre tente sur un escarpement rocheux, à moins que celui-ci ne vous barre carrément la route : il vous faudra l'escalader ! Pourtant Sarah Marquis ne se vante pas de ses prouesses. Sa quête est ailleurs. " Durant les premiers mois, le corps et l'esprit se nettoient. Passé ce cap, l'esprit est libéré. " Alors on voit l'essence des choses. La marche devient un cheminement vers l'essentiel, jusqu'aux limites d'un au-delà mystérieux mais palpable, sans délire mystique, naturel, étrangement apaisant, comme cet ouvrage hors du commun où l'on se remet en cause face à l'immensité.
Notes : Bibliogr. p. 249-250. Glossaire